Il était une fois "tousse"...hum.
Il était une fois un jeune garçon du nom de Link ("lien" en français) ; il habitait dans la forêt Kokiri ; qui sont des êtres qui ne grandissent jamais et restent des enfants pour toujours. Il était 9h00 lorsque Link se réveilla brusquement, il avait un drôle de sentiment : *le monde avait changé*. Il n'aurait pas su dire pourquoi mais il s'avait qu'il venait de se produire quelque chose ; *pourquoi l'avait-il senti ?*
Alors que les Kokiris n'était pas réputés pour avoir de l'instinct mais pour être tête en l'air; lui avait toujours eu cet instinct pour le guider. Il se leva , sorti de sa cabane et se dirigea vers la maison de Saria . Il entra et la vie, Saria avec ses cheveux si long et vert : couleur pomme.
Il lui demanda : "Saria as-tu senti quelque chose ?
- Non, pourquoi ? demanda cette dernière intriguée.
- J'ai comme un pressentiment, un évènement est en préparation.
- Comme lorsque Mido était attaqué par les plantes tueuses ?
- Pire...
- Je suis vraiment désolé mais je ne sens rien , tu veux que je t'aide à quoi que se soit ?
- Non, c'est pas grave, c'est peut-être rien après tout.
Et Link s'en alla ; il alla au magasin Kokiri, mais il ne senti rien de bizarre à cette endroit ; et ainsi il fit toutes les maisons ; mais après des recherches infructueuses Link pensa à un endroit qu'il n'avait pas visité : l'Arbre Mojo. Il arriva devant le chemin qui menait à l'Arbre Mojo ; *heureusement personne ne le regardait , on ne va chez l'Arbre Mojo que pour deux raisons : En cas de problème ou lors des fêtes ; hors il n'y avait aucune fête de prévue avant deux jours*. Link alla donc par le passage mais il y rencontre deux plantes vivantes ; habituellement il n'été pas dur de passer en les evitant mais depuis quelques temps elles devenaient hargneuses , encore plus qu'avant.
Comme Link n'avait pas pris son épée et qu'il ne voulait pas faire demi-tour ; il passa en roulade en prenant soin d'éviter les plantes un maximum mais une plante l'attrapa. Link tapa sur la tête de la plante jusqu'à ce que celle-ci le lâcha et partit à toute allure vers sa destination. Il arriva devant l'Arbre Mojo qui le regardait ; ce-dernier lui dit :
a suivre-non fini