Voilà comment Wismerhille devais passer ses journée, toujours le même parcourt dans la cour du château d'Hyrule, toujours les même personnes, toujours les même évènements quand il y en avait, toujours à regarder dans la même direction, le même décor. Il en avais assez de ce travail trop fastidieux il voulais un peut plus d'action ou de mouvement moins répétitifs. Il était le premier garde entre la ville et le château, il faut dire qu'il ne patrouillait pas vraiment dans la cour intérieur mais sur le chemin reliant les deux. Peut de gens venaient sur ce chemin sans autorisation et c'est lui qui devais vérifier les passes, voilà qu'il n'avais pas vu quelque chose d'anormale par ici tout était ... si ... banal ...
Il s'étonna donc de voir apparaître un villageois en courant, il avait l'air essouffler ce qui prouvait qu'il avais courus depuis le village jusqu'ici, il étais à la limite de l'épuisement en arrivant devant Wismerhille qui l'aida à tenir debout en lui passant un bras autour des épaules.
-Que ce passe-t-il? Tout ce chemin en courant n'a pas dus être facile met toi assis, reprend ton souffle et raconte moi ce qu'il ce passe.
-Monseigneur (marque de politesse) des bandits sont venus dans le village durant la nuit et saccage tout depuis, pouvez-vous nous aider? Il ne sont pas nombreux, je dirais environs 4 ou 5 mais ils sont trop forts pour nous, nous n'avons jamais appris l'art de la manipulation des armes...
-Je pense que je pourrait abandonner mon poste quelque heure pour aider tes camarades, ne bouge pas d'ici, si tu vois quelqu'un, dirige le vers mon collègue un peut plus loin en haut ou vas directement à lui pour lui expliquer la situation et de ne pas s'inquiéter.
-Très bien Monseigneur.
C'est alors que le villageois continua sa course vers le prochain garde du château pendant que Wismerhille partis à grand pas dans la direction opposée pour ne pas s'essouffler trop vite. Il ne lui fallut que 15 minutes de marche à travers le chemin qui serpentait vers le village, tout ce ressemblait ici, les même arbustes, les mêmes fleurs, il en avais par dessus la tête de cette banalité affligeante qu'il endurais depuis quelque années. Le tour de la place du marché fut vite fait, elle était vide même pas un chien ou de poule qui pourtant était habituelle par des journée comme celle-ci. Un des déverrouilla sa porte à la vue du garde du château.
Il lui parla d'une voix terrifiée et timide ce qui ce voyait aussi par ses grand yeux horrifiés par ce qu'il avait vu.
-Vous êtes ici pour réglé le problème des bandits?
-Oui, savez-vous où ils sont?
-je les ai vu partir vers la temple.
A peine eut-il fini sa phrase que Wismerhille ce précipita vers le chemin conduisant au temple, il connaissait ce village par cœur jusqu'au moindre détail, il l'avait tant de fois explorer en civil au cours de ses longues pauses le soir quand le village commençait à s'illuminer et que son centre fourmillait de monde et de vendeurs en tout genre. Il gravit quelque marche et arriva dans le dos des malfrats mais difficile de ne pas ce faire repérer avec ses bottes cloutées et son armure qui cliquetait. Quand les voleurs ce retournèrent ils ce jetèrent sur lui avec violence, munis de dagues ou de couteaux. Il dégaina son épée qui pendait à son coter gauche dans son fourreaux, il avait tellement de fois ce geste dans sa carrière militaire... il ce protégea avec son bouclier qu'il sortit de derrière son dos, là ou il était tout le temps. Il para de nombreux coups mais ne pus en arrêter un qui lui arriva par derrière mais heureusement son armure teint le coup. Il fut repousser vers un mur par les assauts ennemis et ce retrouva coincer parant autant que possible les coups ou les esquivant. Il était mal placer, le combat risquait d'être très difficile car le villageois n'avais vu qu'une partie des bandits, ils était environ 6 et non 4 ou 5 comme il le lui avait dit. Il heurta le mur et ce poussa avec les coudes pour ce propulser vers un de ses adversaire et lui décrocha un coup de poing dans la cage thoracique qui envoya le bandit au sol et bloquant sa respiration pendant de précieuses secondes. Il jeta par dessus son épaule un regard distrait assez pour voir une personne ce ruer sur le groupe une épée à la main...